“Mon atelier, c’est mon antre, ma coquille.”
Une immersion dans l’univers de l’atelier...Un endroit habité par la passion où la couleur, l’imaginaire, la musique se répondaient dans la démesure et l’amoncellement. C’est ainsi que livres, écrits, photos, esquisses, têtes de poupées et vieux bouts de cartons grimpaient aux murs et dévalaient les marches. Tout ce que Théo ramenait à l’atelier, se projetait ensuite dans ses œuvres.